Coup dur pour les associations anti-LGV après la décision du Conseil d’État
Depuis l’annonce de la création de la LGV, de nombreuses associations et politiques ont essayé d’interrompre ce projet. Mais hier, les principaux opposants ont reçu un coup dur pour leur mouvement.
En avril dernier, le gouvernement s’est engagé à financer la LGV à hauteur de 4 milliards. De plus, ils en ont profité pour annoncer que les travaux démarreront en 2024.
En 2019, les associations avaient fait un premier recours en justice pour contester l’utilité du projet, mais il s’est fait rejeter. Cette fois les arguments contestaient l’impact que la LGV aura au niveau économique et social, expliquant que donner la déclaration d’utilité publique n’était pas cohérent.
Avec ce deuxième rejet, les associations n’ont plus autant de motivation qu’avant et viennent de voir leur dernier recours s’effondrer. Une situation qui arrange le projet de la LGV, qui va s’engager pour 4 ans de travaux entre Bordeaux-Toulouse dès 2024.