Un nouveau rebondissement dans le feuilleton des Girondins de Bordeaux. Le club, qui passait devant la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) ce jeudi matin, a obtenu un sursis de la part de l’instance de contrôle malgré l’absence de financement finalisé.
Un délai supplémentaire pour finaliser les négociations
Ce sursis, accordé pour quelques jours, permet au club de poursuivre ses négociations en vue de l’arrivée de nouveaux financements. Une nouvelle audition est prévue le 9 juillet au plus tard pour faire le point sur l’avancée du dossier.
L’espoir d’un prêt américain
Selon les informations de Sud-Ouest, le président Gérard Lopez négocie depuis plusieurs semaines un prêt d’un montant compris entre 70 et 100 millions d’euros avec un fonds d’investissement américain. Ce prêt, qui couvrirait les six prochaines saisons, est crucial pour la survie du club. 30 à 40 millions d’euros sont nécessaires immédiatement pour éviter la rétrogradation administrative en National.
Un conciliateur rassurant
Le club aurait fait appel à un conciliateur du tribunal de commerce, qui a confirmé la bonne avancée des négociations entre le club et le fonds d’investissement. Cette information a rassuré la DNCG et permis d’obtenir le sursis.
Une semaine sous haute tension
Il reste donc à Gérard Lopez une grosse semaine pour conclure l’affaire et éviter le dépôt de bilan. La tension reste palpable au sein du club et chez les supporters, qui attendent avec impatience le dénouement de ce feuilleton à suspense.
En résumé :
- La DNCG accorde un sursis aux Girondins de Bordeaux.
- Le club a jusqu’au 9 juillet pour finaliser un prêt de 70 à 100 millions d’euros.
- 30 à 40 millions d’euros sont nécessaires immédiatement pour éviter la rétrogradation en National.
- Le président Gérard Lopez négocie avec un fonds d’investissement américain.
- Le club reste sous la menace du dépôt de bilan.
Les supporters bordelais vivent une semaine sous haute tension, espérant un dénouement heureux pour leur club. Il y aura surtout une saison a préparer et un effectif à bâtir pour essayer d’être compétitif dans un championnat qui s’annonce relevé cette année en L2.
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