Cyc’lock, la solution de stationnements sécurisés pour les deux roues à Bordeaux

Bordeaux voit naitre de nombreuses idées innovantes chaque jour, mais il est compliqué de proposer de réelles avancées dans un monde qui va si vite. Pourtant, c’est exactement ce que Cyc’lock propose : une solution inédite de stationnement dans les rues bordelaises, à destination des deux roues.

Dans la belle endormie, les cyclistes sont parfois plus nombreux que les automobilistes, et c’est justement ça qui a motivé Mawuse, Louis et Louis, les trois fondateurs de Cyc’lock. Ils sont partis d’un constat très simple : plus de 400 000 vélos sont volés en France chaque année. Cette donnée ahurissante les a interpelés et ils se sont donc lancés dans un projet pour contrer ce problème. Avec l’appui de l’état qui s’est lancé dans un objectif de déploiement massif de voies de circulation et de places de stationnement réservées aux vélos, Cyc’lock est né. Son concept ? Être le tout premier réseau de stationnement sécurité et connecté via une application pour les deux roues non motorisés. Cette innovation arrive à point nommé quand l’utilisation du vélo est de plus en plus forte à Bordeaux.

Deux possibilités pour les usagers : utiliser l’application pour trouver les garages déjà existants (et désormais sécurisés par un boitiers Cyc’lock) ou alors retrouver les garages Cyc’lock qui sont pensés et éco-conçus en France.

Cyc’lock est tout d’abord destiné aux collectivités qui souhaitent encourager leurs usagers à la pratique du vélo. Mais aussi aux entreprises publiques et privées. Un réseau très intéressant puisque presque 2 millions de personnes se rendent au travail en vélo en zone urbaine. Des garages à vélos pourraient être installés directement dans les entreprises pour leur permettre de se stationner en toute sécurité. Et pour finir, l’entreprise s’adresse aux particuliers qui recherche un stationnement sécurisé.

Les équipes Cyc’lock ont mis l’éco-responsabilité au cœur de leurs actions et de leur travail. Les garages sont conçus avec des matériaux locaux et recyclables, tout en permettant aux cyclistes de ne pas perdre leurs équipements, et donc d’en racheter de nouveau.

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