L’autonomie énergétique est l’un des principaux enjeux de la municipalité. Avec l’histoire du gaz russe, il devient primordial de s’engager rapidement dans les énergies renouvelables à commencer par l’énergie solaire.
Les deux ressources énergétiques les plus utilisées à Bordeaux sont l’énergie thermique et l’énergie solaire. Actuellement, la ville dispose d’un parc photovoltaïque de 6 000 m2, ce qui représente à peine 2,5% des besoins en électricité de Bordeaux. Pire, le mix énergétique de Bordeaux n’est composé qu’à seulement 1% d’énergie verte. Une situation dangereuse qui commence à avoir des répercussions sur notre quotidien, un exemple parfait avec le gaz russe.
Même si l’autonomie énergétique totale n’est pas pour tout de suite, l’un des principaux objectifs de la mairie écologiste est une production d’énergie verte locale à hauteur de 25% d’ici 2026. Pour cela, plusieurs actions seront menées dont l’augmentation drastique de la surface de panneaux solaires à Bordeaux. L’objectif est fixé à 60 000 m2, soit 10 fois plus qu’actuellement.
Un investissement sur l’énergie solaire pour Bordeaux
Pour réussir ce passage en force, la municipalité vient d’investir dans deux entreprises (la coopérative Enercoop et la société Solevent spécialisées dans l’énergie solaire) à hauteur de 1 000€ chacune. De plus, 560 bâtiments municipaux auront sur leur toit des panneaux photovoltaïques, avec comme objectif à terme de s’auto-suffire en partie voire en totalité.
Une nouvelle ligne directrice qui a été enclenchée dès 2013 par l’ancienne majorité avec la ferme solaire de Labarde ou encore le parking du Parc des Expositions entièrement photovoltaïque.
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